Il y a un plaisir à trainer sur l’ile, on revoir souvent les mêmes scènes du jour au lendemain, mais on rencontre aussi toujours un truc nouveau sur lequel on bloque ou on délire, … enfin si vous etes déjà venu, vous savez de quoi je parle, pour les autres qui pense le faire, vous comprendrez.
……………………… enfin 15h, on entre dans les hostilités avec the subways sur la main, c’est du rock c’est sûr, mémé apprécierait pas mais on s’en fout de la vioque alors on profite et on prend sa claque.
Ensuite à voir leur instru et la scène, on pourrait dire que Speed Caravan va plutôt ressembler à Khaled qui passerait au même endroit 6 heures plus tard mais en fait, avec leur énergie et leur rythme, il pourrait sans souci accompagner un groupe de rock. En tout cas il porte bien leur nom car Speed ils le sont assurément. Leur dernier morceau a impressioné le public car remixé un petit Chemical Brothers version bled, ça en jette!!
Woven hand & Muszikas initialement non prévu sur mon planning (préférant voir les klaxons sur la main) est la résultante du soleil (qui ne nous lachera plus du festival jusqu’à en etre insistant au niveau température infernale) et des amis posé ici, rencontre de deux légendes US et hongroise, ce groupe fleurant vers des mélodies irlandaises remaniait à leur manière le style rock prédominant au festival.
N&SK toujours sur la world par contre, je voulais les voir et j’ai pas été déçu, ils ont foutu le dawa mettant en nage la masse de français agglutiné à leur pied. La poésie de leur texte, la force des mots de ce groupe estampillé France (violon et accordéon) nous a invité à ouvrir notre esprit …. enfin du moins pour les français pouvant comprendre les paroles. Le sziget étant peu habitué au rappel a vécu ici l’une de ses rares exceptions mais bon vu les décibels pousé pour qu’il revienne, on allait virer au pugilat si les orgas ne l’avaient pas permis. et c’est sur un cirque millénium excellent dans le contexte qu’ils ont donc fini leur tour de chant.
La foule est pour la plupart resté pour voir Khaled mais mes pas m’ont porté vers la main où Placebo administrait sa médecine. sur une scène toujours autant bondé, il a enchainé ses tubes. le concert était sympa mais pas aussi top que prévu, le chanteur Brian molko n’était pas autant déchainé que ça mais bon après sa chute en plein concert au japon quelques jours avant, peut être que la forme n’était pas là.
Ensuite comment se débarasser des français au sziget, inviter Babylon Circus dans une petite scène et attendre que l’entassement et la température s’élevant rapidement les acheve; je sais pas si c’était le plan des orgas en les mettant dans la scène A38 mais le choix du lieu était vraiment pas top.
Déjà il fallait trouver la scène, cette scène un peu paumé a une intéressante prog mais est vraiment bien planqué donc après quelques errances, me voila sous la tente qui se remplit à vue d’oeil de français. Le concert en plus prend du retard, la sécu en attendant pete un cable avec tous les gens montant au mât de la tente et autre (mais bon les français sont un peu insolent … enfin français quoi).
Enfin Babylon Circus fait son entrée avec sa peche et ses cuivres. au bout de deux chansons le chanteur torse poil (il faisait vraiment trop chaud) invite les gens à danser une java entre voisin voisine et le public eux de réclamer de pousser le son (vraiment trop bas et pas forcement top), mais bon la caravane passe et les musiques aussi. c’est de dehors au frais que j’ai pu constaté qu’à l’intérieur il regnait vraiment la musique et le bruit. Comme la plupart des artistes, ils ont remercié leur public en hongrois (on se demande pourquoi d’ailleurs vu le nombre assez mince de hongrois mais bon le geste et le respect du pays est là).
bizarrement je me rappelle plus du reste de la nuit mais bon, je suppose programme classique, biture et joie… tiens mais v’la l’ancetre.
Gruger au sziget par pépé ++X++
Alors gruger l’entrée ça c’est quasi impossible, il y a des controles partout sur l’ile et cest une ile donc à moins de tenter la nage par le danube on est obligé de passer par le pont … enfin obligé, il y a aussi un acces au sud de l’ile (3 km de marche par contre) mais il est tout autant surveillé (mais un peu moins pour les courses). donc je vais parler de gruger de l’alcool.
le premier jour les camions sont relativement peu fouillés ainsi que les bus donc faut en profiter pour ramener votre pastaga (car sur place c’est mort pour s’en procurer) mais bon ça ça marche que le premier jour.
Pour ceux non véhiculé, le premier jour il reste la méthode du duvet, la sécurité ne faisant que tapoter les sacs.
pendant le festival, il y a les méthodes classiques du caleçon (qui marche encore mieux si c’est une culotte de fille … et donc une fille) ou la poche plastique d’un sac à dos ensuite il y a plus recherché :
le pain evidé et rerempli d’une bouteille mais ça il connaisse le truc.
les échange flotte/rhum ne marche pas, il respire la bouteille mais bien tenté dans le meilleur des cas il vous force à la boire devant eux sinon il la jette. il faut etre plus tacticien.
tu peux tres bien acheter des torches de camping et ne pas les remplir forcement d’essence si vous voyez ce que je veux dire. Sinon en étant tres malin, acheter un pack d’eau et réussir à enlever les bouteilles sans déchirer le plastique pour les vider et les reremplir avant de les remettre est une méthode fastidieuse mais ça passe.
Enfin après j’imagine que vous avez aussi de la bouteille et que vous connaissez les astuces… mais attention au sziget c’est étroitement surveillé à l’entrée mais cela reste possible.
Il parait qu’il y a deux ans, des gens avaient monté un radeau pour cet usage et qu’ils utilisaient une corde pour ramener leur course mais est ce un mythe?
et pour les conducteurs, un petit rappel, 0% d’alcool dans le sang si tu veux rouler … dur n’est ce pas?